• Badaboum !

     

    Zut ! Mes chevilles vont encore enfler ! Déjà que la modestie n'est pas toujours ma qualité première !!!!!!!!!!!!

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  • Depuis hier les migraines ophtalmiques succèdent aux migraines ophtalmique (aura). Aussitôt que l'une se termine, une autre reprend. Par moment j'y vois juste assez pour me diriger. Et demain matin il faudra être à 8 h au laboratoire pour de nouveaux examens !

     

    Mercredi - 13 h 45 :

    Je suis si fatiguée. Et le laboratoire vient de m'appeler pour que je revienne parce qu'il y a eu une erreur de manipulation. Il faut tout recommencer !   De nouveau 4 km (AR) à pied et la migraine en sus !

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    Comme une volée de collégiennesDe la mastectomie, il y a douze ans, je garde un très bon souvenir. Pourtant j'avais beaucoup pleuré cette part de féminité qu'on allait m'enlever. Pourtant aucun membre de ma famille n'est venu me voir à l'hôpital. Mon père avait cherché en vain quelqu'un qui acceptât de le conduire près de moi.

    Faute de place en chirurgie obstétrique, on m'avait reléguée dans un service de cardiologie. Dès le réveil, bardée de perfusions et de redons, je m'étais sentie allégée de la douleur atroce qui me broyait l'épaule et le sein jusqu'au niveau du foie depuis des jours. Deux amies enseignantes avaient mis à profit les vacances scolaires pour louer des chambres d'hôtes à quelques kilomètres. Chaque après-midi elles passaient s'enquérir de mon état et me raconter leur découverte de la région. Une voisine les précédait. Elle restait un petit moment en ma compagnie.

    Mais le lendemain de l'opération, on avait frappé à ma porte. Aussitôt que j'avais répondu :"Entrez !" trois visages rieurs s'étaient pressés dans l'encadrement. C'était trois jeunes infirmières en tenue blanche qui se répandirent autour du lit. Elles affirmaient me connaître. Comment cela se pouvait-il ? J'étais hospitalisée pour la première fois de ma vie ! Si, si. Elles insistaient. Elles se rappelaient que je rendais visite assez souvent à une vieille dame. Je fus sidérée : ma tante avait séjourné en cardiologie trois ou quatre ans plus tôt. Alors que j'avais cru me confondre avec les murs, on se souvenait encore de moi !

    Elles revinrent plusieurs fois, comme de joyeuses collégiennes, abandonnant derrière elles un sillage de bonheur. Les années ont passé. J'espère que la vie ne les a pas trop éprouvées et qu'elles ont su garder leur spontanéité...

    PS : Ma tante partageait sa chambre avec la parente d'une vedette de la télévision. Peut-être cela a-t-il aidé à entretenir leur mémoire ;-)

     

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