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Plages de Normandie en 1951 - Beaches of Normandy in 1951
Sept ans plus tard, les traces du débarquement sont encore très visibles.
(Région Quinéville, Cotentin)
Seven years later, the marks of the detraining are always very apparent.
(Near Quinéville, Cotentin )
Tags : 1951 plages du débarquement, débarquement 1944, souvenirs débarquement, Quinéville
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Commentaires
Je les ai vues dans les années 70. Le choc de l'endroit reste toujours vivant malgrè le temps qui passe. Difficile de ne pas penser à tous ces jeunes hommes morts pour nous!
28titiMercredi 18 Juin 2014 à 13:49Marc :
Merci Marc d'être toujours présent malgré mes nombreuses absences.
lylytop :
Il y avait tant de ruines à relever après la guerre qu'on se demande comment les hommes en sont venus à bout. Vingt ans après, cela en dit long sur la tâche qui attendait les reconstructeurs.
Couleur-parenthèse :
Hélas, le monde va bien mal en ce moment...
fanfan2B :
Très émouvant. Le temps a passé. Il reste l'émotion d'avoir vécu un événement historique hors du commun. Certains ennemis d'hier ont fraternisé. Tous les allemands n'étaient pas des nazis. Certains furent entraînés dans la guerre contre leur volonté.
mamie mouette :
Ceux qui ont vécu ces jours terribles ne peuvent bien sûr pas oublier. Sans guérir les plaies, le temps les atténues.
Myrto :
Ah ! Oui. L'été, l'été, qu'il arrive bien vite !!
Florentin :
Bien sûr, ceux qui habitent cette région peuvent se recueillir sur ces plages sans cérémonie. Comme toi, je pense néanmoins que tous ceux qui ont été alors sacrifiés doivent être honorés de temps en temps.
Bauds :
Nous avons encore quelques-uns de ces précieux documents. Malheureusement au fur et à mesure des générations ils seront dispersés.
Jeanmi :
Tant d'années après l'armistice, quelle terrible chose ! Il est vrai que pour nous qui habitions au bord de la mer, près du mur de l'Atlantique, très longtemps on nous mettait en garde contre certains lieux.
Bonsoir Margareth! Merci d'être passée sur mon blog. Oui, le débarquement, souffrances et guérison mêlées! Et aujourd'hui, la liberté toujours à chérir! Restons à veiller au respect de cette dernière! Bise du soir! A bientôt!
un petit bisou en passant, comment vas tu . bonne soiréeJe me souviens petite traverser les dunes de Biville, et au milieu un char en piteux état certes mais il était là plus de 20 ans après oublié surement
a bientôt
lyly
22Marc.Lundi 16 Juin 2014 à 08:0021titiDimanche 15 Juin 2014 à 14:13Malheureusemnt les traces sont toujours présentes. J'ai rencontré une jeune femme qui a sauté sur une mine anti-personnlle en 1990 en tondant sa pelouse, elle n'a plus de jambes...
19titiSamedi 14 Juin 2014 à 13:58Bonne journée Margareth, on attend l'orage mais bof je crois que ce sera pour une autre fois.
AMITIÉS
18BaudsVendredi 13 Juin 2014 à 23:31J'ai pesté le 6 Juin contre la fermeture durant la journée de la RN13. J'allais en Touraine participer à une fête familiale. Mais j'avais tort. Il fallait célébrer la mémoire des combats sur les lieux du Débarquement. Mais, personnellement, j'avais, de toute façon, abandonné l'idée d'aller, ce jour-là, sur les plages. Il aurait fallu montrer patte blanche. J'y vais, de toute façon, de temps en temps. Je n'habite pas loin ... A plus. Porte-toiau mieux. Florentin.
16titiJeudi 12 Juin 2014 à 13:58Bonsoir Margareth,
Ton passage sur Cendre m'a fait très plaisir. Et plus encore parce que je sais combien les choses sont difficiles pour toi actuellement. L'été est presque là, l'été qui réjouit. Colorons-le en vert, en bleu et le jaune au milieu... Douces pensées mon amie.
ce n' est pas bien beau ,
les récits des anciens remontent dans notre mémoire . comment oublier ?
des bises bonne soirée comment vas tu
13titiMercredi 11 Juin 2014 à 13:13J'ai vu les commémorations à la télé; c'était émouvant de voir ces vieux soldats qui ont risqué leur vie pour leur pays.
Et ces milliers de morts , quelle horreur!
Repose-toi bien , ménage-toi et garde le moral
11titiLundi 9 Juin 2014 à 13:31Petite Jeanne :
Je vais demander à mes amis s'ils connaissent ce village où tu dois séjourner. Sûrement car cela fait plusieurs décennies qu'ils vivent là-bas.
titi :
Merci.
Liliane62 :
J'espère que vous passez aussi un bon week-end. Ici nous avons eu de l'orage une partie de la nuit, ce qui a un peu rafraîchi l'atmosphère.
Yvette :
J'espère être plus présente désormais. Contente aussi de vous retrouver les uns et les autres.
cadix :
Cela n'a pas dû être facile non plus d'être prisonnier. Dans mon entourage je ne connais personne qui l'ait été. Je n'ai qu'une vague idée (hormis la séparation d'avec la famille et l'éloignement) de la façon dont se déroulait leur détention. Tristes souvenirs qui ont imprégnés notre enfance.
lanourse :
Certains contestent ces manifestations, mais pouvons-nous oublier tous ceux, civils et militaires, qui ont été balayés par la guerre. Il me semble que les cérémonies, telles qu'elles se sont déroulées cette année, sont propres à rapprocher des peuples hier ennemis. Mais au fond, sauf quelques fanatiques, l'étaient-ils réellement ? Triste chose que de pousser des jeunes gens qui n'ont pas de raison de se haïr dans la furie de la guerre.
Bonjour Margareth , merci , j'ai bien reçu tes deux commentaires !
J'espère que tu vas mieux !
Les commémorations de ce jour mémorable ont été très émouvantes et pleine d'enseignement pour toutes les générations !
A bientôt , bien amicalement !
Mon père a vécu ces moments forts, il était militaire de carrière, il a été prisonnier 5 longues années en Allemagne. Tout ce qui touche cette guerre m’émeut beaucoup. Bises. FRANCOISE
Je suis contente de te retrouver sur ton blog, ma chère Margareth. C'est super.
Ton article est très bien , il fallait en parler.
A bientôt Yvette
Merci Margareth. Les photos parlent d'elles même...
Prends grand soin de toi. Bon week-end de Pentecôte. Belle soirée.5titiSamedi 7 Juin 2014 à 16:33J’ai bien reçu ton mail, je te remercie…
Nous allons passer nos vacances à Saint Saud Lacoussière.
Je sais que tu connais bien la Dordogne, tu as laissé des messages sur des villages que j’ai postés l’an passé. Montagrier n’est qu’à 50 kms…
Je vois que tu as encore besoin de repos….
Cigalette 1066 :
Un événement inoubliable, au moins pour notre génération dont les parents et les grands-parents ont vécu ces événements et nous en ont parlé, assez tard d'ailleurs. Au sortir de la guerre je crois qu'ils voulaient oublier et vivre, reconstruire.
louveteau 50 :
Dans le même temps ma grand-mère et ma tante erraient sur les routes du Cotentin en poussant mon arrière-grand-mère dans une brouette après que leur maison de Montebourg, sauf l'escalier dans lequel elles s'étaient réfugiées, avait été détruite par les bombardements. Ma tante m'a raconté que des journalistes américains les avaient filmées en leur demandant de sourire. "Tu parles que nous avions envie de sourire" concluait-elle.
Bonjour,
Anniversaire de 70 ans ...Que le temps passe vite, le petit Avranchinais de 3 ans que j'étais a des souvenirs de l'exode de nuit vers la campagne lors du bombardement d'Avranches. Puis les images se confondent peut-être avec les souvenirs racontés par mes parents, mais nous avons subi des bombardements plusieurs jours et de nuit car nous nous blotissions dans les angles des étables que le paysan avait aménagées avec du foin ou de la paille pour faire dormir une vingtaine de personnes. J'ai vu les chars dans les prés autour de la ferme et j'ai mangé du chewingum que les américains nous distribuaientt comme au Tour de France. Mon père a été voir un avion abattu qui a touché la cheminée de la ferme du paysan: mr Mincent (Ce nom me revient...souvent en souvenir !!!). Je crois que c'était un avion américain. C'est bien loin ....deux générations et la troisième ( nos enfants auront oubliés )...
Je suis content de voir des nouvelles de votre part sur votre blog et vous souhaite associé à mon épouse une meilleure santé et du répit face à cette maladie. Louveteau50.
Je n'étais pas encore née mais je connais toute l'histoire jamais il ne faut oublier ce moment de notre histoire!
Gros bisous mon amie
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Marenostrum :
Je crois que ces lieux garderont longtemps leur mémoire après une telle hécatombe. La guerre est terrible qui fait s'entretuer des hommes qui, en d'autres circonstances, auraient peut-être fraternisé.
titi :
Voilà, Ugo a eu sa caresse !