Lorsque nous sommes sorties, les éventaires du marché remballés, nous avons remarqué cette statue de l'un des plus éminents artistes polonais contemporains (de père français) dont le thème majeur est le corps humain : IGOR MITORAJ.

 

Mais en nous promenant à travers Greve in Chianti nous avons constaté que ce village touristique exposait d'autres oeuvres contemporaines, notamment une fontaine dont l'eau jaillit des bras d'une forme féminine. Malheureusement nous n'avons trouvé aucune référence au sculpteur qui l'a conçue...

 

Dans un autre quartier du village, au fond d'un petit square, une statue dédiée à la musique a retenu notre attention. Elle portait une signature : FUAD.

 

Puis sur le chemin du retour nous sommes passées devant ce bas-relief en métal. Là non plus nous n'avons pas trouvé le nom de l'auteur, bien qu'il doive figurer quelque part...

 

 

Par ces mêmes routes en lacet nous sommes arrivées à  Greve in Chianti, coquet village aux maisons jaunes, resserré entre des collines couvertes de vignes. En effet nous nous trouvons dans la capitale du chianti classico, le plus prisé, dont l'emblème est un coq noir qui apparaît sur les étiquettes des bouteilles de vin. Sur la place bordée d'arcades, qui remonte au Moyen Age, se tenait le marché, assez animé.

 

Au milieu de la place, presque submergée par les toiles des étals, nous découvrons la statue de Giovanni da Verrazzano (bronze de Romeo Pazzi, 1913), l'enfant du pays, navigateur au service de François 1er. Il explora pour le compte de ce roi la baie de New York le 17 avril 1524.

 

 

A midi nous avons déjeuné dans un charmant petit restaurant sous les arcades. Comme beaucoup d'autres à Florence et dans les environs, il propose de la triperie dont mes amies se régalent. Pour ma part je préfère les farcis, dans l'esprit de ceux que l’on peut déguster dans le vieux Nice.